L’AJS, Le Bon Emploi de la Solidarité s’est donnée comme objectif de regrouper des personnes de toute nationalité désireuses de se retrouver afin d’élaborer et de mettre en place des projets. Dans le but de parvenir à ses fins, notre association n’a eu de cesse d’encourager une meilleure connaissance des différentes communautés, de soutenir les personnes notamment celles qui se trouvent en difficultés dans leurs efforts d’intégration et d’insertion dans le monde du travail.
L’AJS, Le Bon Emploi de la Solidarité souhaite créer des liens sociaux entre les personnes de différentes couches sociales et de diverses origines culturelles, voire ethniques, faire prendre conscience aux personnes de la région de leurs responsabilités collectives et individuelles, et ce, dans le plus grand respect de leur appartenance mutuelle.
Enfin, L’AJS, Le Bon Emploi de la Solidarité souhaite mettre en place des activités sociales, culturelles, sportives et collectives, afin de lutter contre toute forme de discriminations et d’exclusions. Quoi qu’il en soit, elle se penche vers de nouveaux horizons afin d’innover, de réinjecter de nouveaux éclairages dans ses missions d’insertion et de lutter contre les discriminations.
« L’année 2007 a été une année riche en événements et l’AJS, grâce à des outils innovants, a fait la démonstration qu’elle pouvait apporter une réponse psychosociale adaptée pour soutenir un parcours de socialisation. L’évolution du travail social est devenue incontournable. Evolution incontestablement liée à la modification des publics que nous accueillons, chaque année. L’étude des dossiers d’aide alimentaire met en exergue le nombre croissant de travailleurs pauvres, de retraités et d’étudiants. Des bénéficiaires bien différents de ceux que nous rencontrions il y a 20 ans. Aussi je suis convaincue que nous devons nous unir pour agir sur un phénomène de société inquiétant dont nul n’est à l’abri. C’est une des raisons pour laquelle l’AJS est en perpétuelle recherche de projets innovants en matière de lutte contre toutes formes de discrimination, en favorisant au maximum les débats et en incitant le public à participer au plus près des grands thèmes de société. « Parole de femmes », plébiscitée en fin d’année 2006 par le Club de la Presse, est l’illustration de la place que peuvent prendre les femmes qui ont peu l’habitude de s’exprimer sur des thèmes d’actualité, notre mission étant de les inviter à devenir des citoyennes actives et participatives. L’ouverture vers de nouveaux partenariats a été un des axes 2006-2007, elle sera omniprésente en 2008 puisque l’un des grands objectifs sera le développement vers des horizons européens. »
Mauricette Sauvignon, Présidente